Deux à trois fois par semaine, l’épouse et mère se rendait à une salle de sport où elle avait ses habitudes.
Après la séance des abdos-fessiers, elle rejoignait un jeune fournisseur de bite qui l’attendait dans le jacuzzi, afin d’aller ensemble à la douche.
Ouverte de partout, elle voulait garder la bite dans son derrière insatiable et aussi l’avoir dans son vagin[1] boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
C'était une épouse et mère qui savourait d’être pute, appréciait de nourrir des échanges sur « l’art
cul-inaire », alimentant la culture de la baise sans frontières, vantant des saveurs, détaillant des prémices, insistant sur des préliminaires, mettant des bas-ventres en appétit.
Des
échanges qui faisaient saliver, baver, humecter, mouiller, donnaient envie de
laper, de mordre, de se délecter, et autres.
Avec
sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher
avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en
bas de la robe, d’écarter les jambes, elle était plus qu’ouverte à tout, de
partout.
Posant
par dessus la robe bien déboutonnée son doigt, le majeur, au niveau de son
vagin, elle se caressait intensément.
Sur
son lieu de travail,[2] des
débauchés mâles et femelles se roulaient des pelles,[3] se
tripotaient, se faisaient des fellations, se léchaient, s’aménageaient des
moments pour se livrer à des enculeries, procédaient à des explorations anatomiques,
baisaient dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des
voitures,[4] et
n’importe où.
En
regagnant le domicile conjugal, elle jouait aussi, comme d'innombrables autres, à l’épouse, à la mère.
Lorsque l'époux et les enfants n'étaient pas à la maison, elle aimait passer du temps avec le chien.
Elle allait dans la chambre à baiser, s’allongeait, badigeonnait son vagin, fraîchement épilé, de crème dont le chien raffolait et qu’il léchait en enfonçant sa langue de plus en plus profondément.
Elle gémissait de plaisir, se tournait ensuite, se mettait à quatre pattes, et il l’enculait.
Mieux que quiconque disait-elle.
Une femelle de ses fréquentations qui gambergeait sans cesse entre les cuisses, partageait de temps à autre avec elle des moments de ce genre, et se retrouvaient dans un parc pour rouler des pelles à des jeunes fournisseurs de bites..
Elle se sentait valorisée[5] en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle et tenait à ce qu’ils la trouvent toujours baisable.
Cette femelle de ses fréquentations avait dans sa chambre à baiser, à côté d’un pénis en bois d’ébène, une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Il lui arrivait de susurrer en baisant que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Lorsque l'époux et les enfants n'étaient pas à la maison, elle aimait passer du temps avec le chien.
Elle allait dans la chambre à baiser, s’allongeait, badigeonnait son vagin, fraîchement épilé, de crème dont le chien raffolait et qu’il léchait en enfonçant sa langue de plus en plus profondément.
Elle gémissait de plaisir, se tournait ensuite, se mettait à quatre pattes, et il l’enculait.
Mieux que quiconque disait-elle.
Une femelle de ses fréquentations qui gambergeait sans cesse entre les cuisses, partageait de temps à autre avec elle des moments de ce genre, et se retrouvaient dans un parc pour rouler des pelles à des jeunes fournisseurs de bites..
Elle se sentait valorisée[5] en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle et tenait à ce qu’ils la trouvent toujours baisable.
Cette femelle de ses fréquentations avait dans sa chambre à baiser, à côté d’un pénis en bois d’ébène, une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Il lui arrivait de susurrer en baisant que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Elle
aimait sucer, lécher, se faire lécher, être pénétrée de partout, se délectait lorsqu’elle léchait le vagin voluptueux d’une jeune mariée, pendant
qu’elle se faisait enculer par l’époux de celle-ci.
Lors
d’une soirée avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes,
et autres, la musique avait déchaînée l’épouse et mère.
Alcool, joints,[6] musique, danse.
Préambule à la baise sans frontières.
Elle s’était lancée dans la danse, et lorsque arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite, lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert,[7] elle désirait être enculée sans attendre.[8]
Pour des débauchés mâles et femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’était pas incompatible avec le mariage qui en a, récitaient-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs, les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples échanges, se régaler, jouir des avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Non loin du recoin où elle s’était retirée avec le jeune fournisseur de bite, un mâle et une femelle occupaient les chiottes attenantes.
Le mâle explorait des étendues qui, sans être vierges, avaient encore un certain attrait pour lui.
La femelle le soutenait bruyamment.
Sur le marché du sexe, que des sites internet contribuent à étendre, des culs, des vagins, des bites, et autres, réclament encore et encore, la baise sans frontières pour consolider les valeurs à transmettre, et l’acquis civilisationnel.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, veillent sur ces valeurs, sur cet acquis civilisationnel.
Quiconque n’adhère pas à ces valeurs, à cet acquis civilisationnel, fait partie des obscurantistes dont il faut se débarrasser pour le bonheur de l’humanité.[9]
BOU’AZZA
[1] Son vagin qu’elle épilait soigneusement, bénéficiait de diverses attentions, et la petite culotte invitante d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
[2] Et ailleurs.
[3] S’embrassaient en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
[4] Certaines voitures avaient la réputation d’être des baisodromes.
Des indices des ébats qui s’y déroulaient, excitaient des mâles et des femelles qui voulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
La voiture de l’épouse et mère, du côté passager, ne manquait pas d’indices qui ne laissaient pas de doute quant à ce qui s’y passait.
[5] Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
[6] Et autres.
[7] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux.
[8] La sodomie faisait partie de ses délices.
Elle n’avait pas oublié des sorties scolaires en autocar, sorties dites éducatives, durant lesquelles des enseignants et des enseignantes montraient aux élèves comment se rouler des pelles, se tripoter, se peloter, et plus.
Dans des établissements scolaires qu’elle avait fréquentés, elle connaissait les enseignants, les enseignantes, les élèves qui se léchaient, s’adonnaient à des fellations, baisaient.
Elle avait vu la directrice, la secrétaire, et un surveillant se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Elle savait où trouver l’enseignante, épouse et mère, qui gémissait de plaisir, à quatre pattes, en se faisant sodomiser par un élève, pas toujours le même.
Et pour elle aussi, se faire sodomiser était devenu un délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec un enseignant qui soutenait que ce qu’il faisait était chaste, avait pour but d’approfondir sa relation avec son épouse.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Alcool, joints,[6] musique, danse.
Préambule à la baise sans frontières.
Elle s’était lancée dans la danse, et lorsque arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite, lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert,[7] elle désirait être enculée sans attendre.[8]
Pour des débauchés mâles et femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’était pas incompatible avec le mariage qui en a, récitaient-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs, les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples échanges, se régaler, jouir des avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Non loin du recoin où elle s’était retirée avec le jeune fournisseur de bite, un mâle et une femelle occupaient les chiottes attenantes.
Le mâle explorait des étendues qui, sans être vierges, avaient encore un certain attrait pour lui.
La femelle le soutenait bruyamment.
Sur le marché du sexe, que des sites internet contribuent à étendre, des culs, des vagins, des bites, et autres, réclament encore et encore, la baise sans frontières pour consolider les valeurs à transmettre, et l’acquis civilisationnel.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, veillent sur ces valeurs, sur cet acquis civilisationnel.
Quiconque n’adhère pas à ces valeurs, à cet acquis civilisationnel, fait partie des obscurantistes dont il faut se débarrasser pour le bonheur de l’humanité.[9]
[1] Son vagin qu’elle épilait soigneusement, bénéficiait de diverses attentions, et la petite culotte invitante d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
[2] Et ailleurs.
[3] S’embrassaient en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
[4] Certaines voitures avaient la réputation d’être des baisodromes.
Des indices des ébats qui s’y déroulaient, excitaient des mâles et des femelles qui voulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
La voiture de l’épouse et mère, du côté passager, ne manquait pas d’indices qui ne laissaient pas de doute quant à ce qui s’y passait.
[5] Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
[6] Et autres.
[7] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux.
[8] La sodomie faisait partie de ses délices.
Elle n’avait pas oublié des sorties scolaires en autocar, sorties dites éducatives, durant lesquelles des enseignants et des enseignantes montraient aux élèves comment se rouler des pelles, se tripoter, se peloter, et plus.
Dans des établissements scolaires qu’elle avait fréquentés, elle connaissait les enseignants, les enseignantes, les élèves qui se léchaient, s’adonnaient à des fellations, baisaient.
Elle avait vu la directrice, la secrétaire, et un surveillant se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Elle savait où trouver l’enseignante, épouse et mère, qui gémissait de plaisir, à quatre pattes, en se faisant sodomiser par un élève, pas toujours le même.
Et pour elle aussi, se faire sodomiser était devenu un délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec un enseignant qui soutenait que ce qu’il faisait était chaste, avait pour but d’approfondir sa relation avec son épouse.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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