Quand la météorologie leur
déplaît, d’innombrables personnes étalent leur insatisfaction, leur arrogance.
Elles pestent, râlent, insultent, enragent, et pire encore.
Elles ne savent pas invoquer Allaah lorsque les pluies sont diluviennes ou rares, lorsque les chaleurs sont étouffantes ou absentes, et autres.
Elles ignorent la reconnaissance pour les bienfaits d’Allaah.
Elles ne cherchent pas à observer Ses signes.[1]
Cet été, il fait plus chaud, gueulent-elles, colériques, agressives.
Des commerces en Europe et ailleurs sont pris d’assaut.
Razzia sur les ventilateurs, sur les climatiseurs, sur les bouteilles d’eau minérale, sur les boissons gazeuses, sur les glaces, sur mille et une choses.
Les corps dénudés envahissent l’espace.
Des institutions s’agitent.
La canicule s’étend.
Loin de ce tintamarre, des dromadaires et autres, pensifs, humbles, invocateurs, savent qu’il fait beaucoup plus chaud en Enfer.
BOU’AZZA
[1] Aayaate, pluriel de aaya.
Elles pestent, râlent, insultent, enragent, et pire encore.
Elles ne savent pas invoquer Allaah lorsque les pluies sont diluviennes ou rares, lorsque les chaleurs sont étouffantes ou absentes, et autres.
Elles ignorent la reconnaissance pour les bienfaits d’Allaah.
Elles ne cherchent pas à observer Ses signes.[1]
Cet été, il fait plus chaud, gueulent-elles, colériques, agressives.
Des commerces en Europe et ailleurs sont pris d’assaut.
Razzia sur les ventilateurs, sur les climatiseurs, sur les bouteilles d’eau minérale, sur les boissons gazeuses, sur les glaces, sur mille et une choses.
Les corps dénudés envahissent l’espace.
Des institutions s’agitent.
La canicule s’étend.
Loin de ce tintamarre, des dromadaires et autres, pensifs, humbles, invocateurs, savent qu’il fait beaucoup plus chaud en Enfer.
[1] Aayaate, pluriel de aaya.
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