lundi 19 juin 2017

TOUJOURS LE RAPPEL

« Nous sommes à Allaah, et à Lui nous retournons ».[1]
Dans l’impermanence d’ici-bas, nous allons à la permanence de l’au-delà, où Allaah réserve une place pour chacun :
Soit en Enfer, soit au Paradis.
Faisons de notre mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande, pour espérer être accueilli par Lui, dans Son Paradis.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[2]
  
BOUAZZA




[1] Alqoraane (Le Coran), sourate2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.

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